mercredi 8 août 2007
Générique film: La traque de l'affiche rouge
Générique début (cartons)
Une production
Compagnie des Phares et Balises
avec la participation de
France 2
et le soutien de la
Fondation pour la mémoire de la Shoah
LA TRAQUE DE L’AFFICHE ROUGE
Un film de Jorge Amat
Et de Denis Peschanski
Générique fin (déroulant) – 60 secondes max
Réalisation
Jorge Amat
Scénario
Denis Peschanski
Jorge Amat
Montage
Pascal Vernier
Image
Bruno Henry
Assisté de
Noel Allaire
Maud Cohen
Son
Jean-Luc Le Brun
Assistants réalisateur
Camille Clavel
Philippe Miramond
Claude Gonguet
Musique originale
Jean-Louis Valero
Documentaliste
Marie-Hélène Barberis
Transcriptions
Annette Davis
Étalonnage
François Montepellier
Synthés et génériques
XXX
Mixage
XXX
Avec la participation à l’image de :
Lucia Romeu, Pablo Melchor, Loic Carel, Guillaume Lardanchet
Camille Clavel, Phillippe Miromont, Raphael Goldman,
Maud Cohen, Mathilde et Anais Henry
Musiques additionnelles
« L’Affiche Rouge »
paroles de Aragon
musique de Léo Ferré
avec l’autorisation des nouvelles éditions Méridian
arrangement : Jean-Louis Valero
interprété par Anna Flori Lamour
Archives filmées avec l’aimable autorisation du
Centre historique des Archives nationales
Musée de la Préfecture de Police de Paris
Mémorial de la Shoah
Musée de la Résistance Nationale Champigny-sur-Marne
Tous droits réservés
Archives
« Patriotisme » de Georges Jaffé, 1943
« Les faits d’armes de la semaine », 1944
Films restaurés par les Archives Françaises du Film,
dans la cadre du plan de sauvegarde des films anciens du Ministère de la Culture
« Au cœur de l’orage » de Jean-Paul le Chanois, 1948- INA
Gaumont Pathé archives, La caméra Stylo,
Chronos, Getty images
Tous droits réservés
Photos
Musée de la Résistance nationale-Champigny-sur-Marne
Musée et Archives de la Préfecture de Police de Paris
Musée Bundesarchiv
Archives de la B.H.V.P.
Fonds comité Franz Stock - ECPAD
Tous droits réservés
Remerciements
Claude Charlot directeur du Musée et des archives de la Préfecture de Police,
Gregory Auda, archiviste
Commissaire honoraire Jean-Jacques Thiéfine
Guy Krivopissko conservateur Musée de la Résistance Nationale
Gérard Ermisse, directeur du Centre historique des Archives Nationales
Christian Oppetit, chef de la section XXe siècle des Archives nationales
Marion Veyssière ,conservateur, section XXe siècle
Une production
Compagnie des Phares et Balises
Administration de production
Armelle Protte
Irad Sachs
Vincent Dicop
Chargées de production
Nathalie de Mareuil
Production exécutive
Sophie Faudel
Production déléguée
Jean Labib
avec le soutien
de la Fondation pour la mémoire de le Shoah
et du Centre National de la Cinématographie
Avec la participation de France 2
Attachée de presse
Audrey Dauman
Atelier de production
Clotilde Beslon
Unité documentaires
Fabrice Puchault
Yves Jeanneau
Conseillères de programmes
Caroline Glorion
Clémence Coppey
Directrice des documentaires et magazines
Patricia Boutinard Rouelle
© Cie des Phares & Balises – 2005
Une production
Compagnie des Phares et Balises
avec la participation de
France 2
et le soutien de la
Fondation pour la mémoire de la Shoah
LA TRAQUE DE L’AFFICHE ROUGE
Un film de Jorge Amat
Et de Denis Peschanski
Générique fin (déroulant) – 60 secondes max
Réalisation
Jorge Amat
Scénario
Denis Peschanski
Jorge Amat
Montage
Pascal Vernier
Image
Bruno Henry
Assisté de
Noel Allaire
Maud Cohen
Son
Jean-Luc Le Brun
Assistants réalisateur
Camille Clavel
Philippe Miramond
Claude Gonguet
Musique originale
Jean-Louis Valero
Documentaliste
Marie-Hélène Barberis
Transcriptions
Annette Davis
Étalonnage
François Montepellier
Synthés et génériques
XXX
Mixage
XXX
Avec la participation à l’image de :
Lucia Romeu, Pablo Melchor, Loic Carel, Guillaume Lardanchet
Camille Clavel, Phillippe Miromont, Raphael Goldman,
Maud Cohen, Mathilde et Anais Henry
Musiques additionnelles
« L’Affiche Rouge »
paroles de Aragon
musique de Léo Ferré
avec l’autorisation des nouvelles éditions Méridian
arrangement : Jean-Louis Valero
interprété par Anna Flori Lamour
Archives filmées avec l’aimable autorisation du
Centre historique des Archives nationales
Musée de la Préfecture de Police de Paris
Mémorial de la Shoah
Musée de la Résistance Nationale Champigny-sur-Marne
Tous droits réservés
Archives
« Patriotisme » de Georges Jaffé, 1943
« Les faits d’armes de la semaine », 1944
Films restaurés par les Archives Françaises du Film,
dans la cadre du plan de sauvegarde des films anciens du Ministère de la Culture
« Au cœur de l’orage » de Jean-Paul le Chanois, 1948- INA
Gaumont Pathé archives, La caméra Stylo,
Chronos, Getty images
Tous droits réservés
Photos
Musée de la Résistance nationale-Champigny-sur-Marne
Musée et Archives de la Préfecture de Police de Paris
Musée Bundesarchiv
Archives de la B.H.V.P.
Fonds comité Franz Stock - ECPAD
Tous droits réservés
Remerciements
Claude Charlot directeur du Musée et des archives de la Préfecture de Police,
Gregory Auda, archiviste
Commissaire honoraire Jean-Jacques Thiéfine
Guy Krivopissko conservateur Musée de la Résistance Nationale
Gérard Ermisse, directeur du Centre historique des Archives Nationales
Christian Oppetit, chef de la section XXe siècle des Archives nationales
Marion Veyssière ,conservateur, section XXe siècle
Une production
Compagnie des Phares et Balises
Administration de production
Armelle Protte
Irad Sachs
Vincent Dicop
Chargées de production
Nathalie de Mareuil
Production exécutive
Sophie Faudel
Production déléguée
Jean Labib
avec le soutien
de la Fondation pour la mémoire de le Shoah
et du Centre National de la Cinématographie
Avec la participation de France 2
Attachée de presse
Audrey Dauman
Atelier de production
Clotilde Beslon
Unité documentaires
Fabrice Puchault
Yves Jeanneau
Conseillères de programmes
Caroline Glorion
Clémence Coppey
Directrice des documentaires et magazines
Patricia Boutinard Rouelle
© Cie des Phares & Balises – 2005
FILM: La traque de l'affiche rouge
« La traque de l’affiche rouge »
Un film de Jorge Amat et Denis Peschanski
Réalisation : Jorge Amat
Auteurs : Denis Peschanski, Jorge Amat
Une production Compagnie des Phares &Balises
et le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah
avec la participation de France 2
72 min
Le film « La traque de l’affiche rouge raconte la lutte, la chute et le procès du groupe de résistants à Paris fin 1943, nommé groupe de l’affiche rouge.
Dans ce film, nous racontons l’impitoyable traque que la police française ( les brigades spéciales) fit à ces résistants membres de la MOI qui fin 1943 était le seul groupe armé luttant contre l’occupant allemand à Paris .
Qui sont-ils ? Boczow , juif hongrois, chef dérailleur, 20 attentats; Witchitz, juif polonais, 15 attentats; Wajsbrot, juif polonais, 1 attentat, 3 déraillements, Elek, juif hongrois, 8 déraillements, Grzywacz, juif polonais, 2 attentats, Fontanot, communiste italien, 12 attentats; Rayman, juif polonais, 13 attentats; Alfonso, Espagnol rouge, 7 attentats; Manouchian. Arménien, chef de la bande, 56 attentats, 150 morts, 600 blessés
Pour la première fois on montre les documents originaux, souvent inédits, jamais filmés ainsi que des photos d’identité judiciaire qui nous montrent les vrais visages de nos héros ainsi que des chefs des Brigades spéciales.
Quelques témoins résistant au sein de la MOI ( Irma Mico, Lise London, Paulette Sarcey, Adam Rayski, César Covo et Henry Karayan racontent leur lutte, la solidarité, la terreur et la répression qu’ils ont subi.
Pour bien comprendre les mécanismes de cette traque nous suivons l’historien Denis Peschanski aux archives du musée national de la résistance, à la fondation de la Shoah, au Mont Valérien ainsi qu’aux archives de la préfecture de police. Il explique comment en 1944, quelques mois avant la Libération de Paris, la Brigade Spéciale de la police a réussi à éliminer toute lutte armée de la résistance dans la capitale.
Nous voyons les procès-verbaux où tout est décrit jour par jour, les filatures, les interrogatoires, les dénonciations…comme les arrestations d’ Henri Krasucki, Manouchian et Epstein, filatures, actions…
Les reconstitutions du film sont faites dans les endroits mêmes où eurent lieu les actions :
les filatures, les arrestations d’ Henri Krasucki, Manouchian et Epstein…
Un des intérêts majeurs de ce film est de montrer l'ensemble du processus depuis le début de la première filature jusqu'aux chutes consécutives, aux arrestations de tout le groupe de l’affiche rouge, donnant un nom et un visages a ces étrangers morts pour la libération de la France.
Note d'intention de "Sonate pour un fugitif"
« Sonate pour un fugitif »
L’histoire du film est né entre la rencontre d’un fait-divers,
( une jeune femme introvertie, sensible et musicienne qui tombe amoureuse du délinquant, d’origine méditerranéenne, qui dévalise son appartement) et l’envie de travailler avec l’acteur espagnol de la Fura del Baus, Jordi Flores, rencontré lors d’un spectacle à Madrid.
Le plus long fut la recherche de l’actrice française, parlant espagnol d’aspect fragile et forte à la fois qui puisse paraître crédible dans ce rôle.
Avec ce film, j’ai essayé tout en racontant une histoire d’amour entre un fugitif et cette musicienne solitaire d’aller un peu plus loin dans la réflexion sur le vrai et le faux dans le cinéma. Exactement comme le dit le philosophe Gilles Delleuze dans son livre « Image-temps » L’imaginaire en effet apparaîtra sous la forme du caprice et de la discontinuité, chaque image étant en décrochage avec une autre dans laquelle elle se transforme.
Donc dans ce film, je veux garder l’ambiguïté entre la forme de l’image-rêve et celle de l’image-réel. Pour cela au milieu du film, on se rend compte dans la convention du mélo que l’héros n’est pas un délinquant mais un voisin acteur qui veux voir jusqu’ou il est crédible dans ce rôle. Quelques minutes plus tard, cette fois-ci c’est l’héroïne qui donne un autre sens à tout ce que l’on vient de voir et bascule la logique de l’histoire et de victime elle devient manipulatrice…elle savait dès le début que Paul était son nouveau voisin, un acteur célèbre.
Mais là comme dans « Rashomon » de Kurosawa on fait parler les voisins, les parents qui donnent, chacun, une autre vision de l’histoire. Les enchaînements et les confessions de la première partie du film deviennent de plus en plus irréels pour finir par n’être q’un phantasme de femme qui rêve d’avoir à cacher et sauver un fugitif.
Bien sûr que ce fugitif est le symbole de l’intrus de l’étranger qui menace ta quiétude et l’ordre de l’ennui.
Pour accentuer ce coté « métèque » de l’agresseur j’ai choisi un très bon acteur espagnol ( très connu en Espagne faisant partie de la célèbre troupe de théâtre de « La fura del Baus » qui dans le film ne parlera que le castillan, tandis que la jeune femme lui répond en Français. Cela m’a fait plaisir de garder ce coté un peu irréel entre eux…mais cela rentre aussi dans la logique de l’incommunicabilité entre les personnes. Dans ce film, chacun n’est que la représentation que ce que pense l’autre. La peur, le désir, l’amour sont des passerelles où l’on n’a pas besoin de traducteur.
C’est pour cela que les « confessions » des voisins et famille et le journaliste sont filmés d’une façon stylisée sur un fond de couleur… sans perspective ni fonction narrative ( ils ne sont pas en situation). Ils sont là, racontent des choses, mais personne ne peut les situer dans un espace-temps actuel.
La durée du temps de chaque scène à été calculé pour correspondre au moment où le public est immergée et croit ce qu’il voit. La violence du personnage doit correspondre au cliché que l’on se fait d’un agresseur ainsi que la scène d’amour doit faire croire en cette passion fulgurante de l’amour chair. C’est grâce a cela que la trahison en est plus forte.
Donc dans ce film comme chez Pirandello les acteurs partent à la recherche d’un personnage rêvé, idéal ou odieux.
Le côté mélodramatique de la première histoire me permet à travers ce manque absolu d’amour d’isoler les personnages, de les enfermer dans un vase clos d’où on ne voit le réel que très loin à travers les fenêtres. Le réel et le virtuel courent l’un derrière l’autre à l’infini, ce genre de film permet de continuer l’histoire jusqu'à plus soif ou fin de l’imagination.
Fiche technique : « Sonate pour un fugitif »
78 mn :
Acteurs : Ainara Iribas, Jordi Flores, Nathalie Trafford, Zoe Zag, Noemi et Valentina Gasparini, Lucia Romeu, Julio Feo et Miguel Curiel.
Image : David Galmot, Son Jerôme Raim,
Montage : Julia Juaniz. Musique : Jean Louis Valero.
Assistant : Pablo Melchor
Musique : Jean Louis Valero
Productions : Utopiart films-Alokatu producciones.
L’histoire du film est né entre la rencontre d’un fait-divers,
( une jeune femme introvertie, sensible et musicienne qui tombe amoureuse du délinquant, d’origine méditerranéenne, qui dévalise son appartement) et l’envie de travailler avec l’acteur espagnol de la Fura del Baus, Jordi Flores, rencontré lors d’un spectacle à Madrid.
Le plus long fut la recherche de l’actrice française, parlant espagnol d’aspect fragile et forte à la fois qui puisse paraître crédible dans ce rôle.
Avec ce film, j’ai essayé tout en racontant une histoire d’amour entre un fugitif et cette musicienne solitaire d’aller un peu plus loin dans la réflexion sur le vrai et le faux dans le cinéma. Exactement comme le dit le philosophe Gilles Delleuze dans son livre « Image-temps » L’imaginaire en effet apparaîtra sous la forme du caprice et de la discontinuité, chaque image étant en décrochage avec une autre dans laquelle elle se transforme.
Donc dans ce film, je veux garder l’ambiguïté entre la forme de l’image-rêve et celle de l’image-réel. Pour cela au milieu du film, on se rend compte dans la convention du mélo que l’héros n’est pas un délinquant mais un voisin acteur qui veux voir jusqu’ou il est crédible dans ce rôle. Quelques minutes plus tard, cette fois-ci c’est l’héroïne qui donne un autre sens à tout ce que l’on vient de voir et bascule la logique de l’histoire et de victime elle devient manipulatrice…elle savait dès le début que Paul était son nouveau voisin, un acteur célèbre.
Mais là comme dans « Rashomon » de Kurosawa on fait parler les voisins, les parents qui donnent, chacun, une autre vision de l’histoire. Les enchaînements et les confessions de la première partie du film deviennent de plus en plus irréels pour finir par n’être q’un phantasme de femme qui rêve d’avoir à cacher et sauver un fugitif.
Bien sûr que ce fugitif est le symbole de l’intrus de l’étranger qui menace ta quiétude et l’ordre de l’ennui.
Pour accentuer ce coté « métèque » de l’agresseur j’ai choisi un très bon acteur espagnol ( très connu en Espagne faisant partie de la célèbre troupe de théâtre de « La fura del Baus » qui dans le film ne parlera que le castillan, tandis que la jeune femme lui répond en Français. Cela m’a fait plaisir de garder ce coté un peu irréel entre eux…mais cela rentre aussi dans la logique de l’incommunicabilité entre les personnes. Dans ce film, chacun n’est que la représentation que ce que pense l’autre. La peur, le désir, l’amour sont des passerelles où l’on n’a pas besoin de traducteur.
C’est pour cela que les « confessions » des voisins et famille et le journaliste sont filmés d’une façon stylisée sur un fond de couleur… sans perspective ni fonction narrative ( ils ne sont pas en situation). Ils sont là, racontent des choses, mais personne ne peut les situer dans un espace-temps actuel.
La durée du temps de chaque scène à été calculé pour correspondre au moment où le public est immergée et croit ce qu’il voit. La violence du personnage doit correspondre au cliché que l’on se fait d’un agresseur ainsi que la scène d’amour doit faire croire en cette passion fulgurante de l’amour chair. C’est grâce a cela que la trahison en est plus forte.
Donc dans ce film comme chez Pirandello les acteurs partent à la recherche d’un personnage rêvé, idéal ou odieux.
Le côté mélodramatique de la première histoire me permet à travers ce manque absolu d’amour d’isoler les personnages, de les enfermer dans un vase clos d’où on ne voit le réel que très loin à travers les fenêtres. Le réel et le virtuel courent l’un derrière l’autre à l’infini, ce genre de film permet de continuer l’histoire jusqu'à plus soif ou fin de l’imagination.
Fiche technique : « Sonate pour un fugitif »
78 mn :
Acteurs : Ainara Iribas, Jordi Flores, Nathalie Trafford, Zoe Zag, Noemi et Valentina Gasparini, Lucia Romeu, Julio Feo et Miguel Curiel.
Image : David Galmot, Son Jerôme Raim,
Montage : Julia Juaniz. Musique : Jean Louis Valero.
Assistant : Pablo Melchor
Musique : Jean Louis Valero
Productions : Utopiart films-Alokatu producciones.
Sonate pour un fugitif
Un film de Jorge Amat
Interdit au moins de 12 ans
Format 16/9 Son : Stéreo Duréé : 78 min
Langue : Français-Espagnol (sous-titré)
Dans ce mélodrame inspiré d’un fait-divers, un fugitif armé et traqué par la police
croit trouver l’amour chez une jeune pianiste chez qui il trouve un refuge.
Elle le calme, le convainc qu’il n’est qu’une victime d’une société cannibale.
À son tour, elle s’épanche et lui raconte ses malheurs.
Elle lui propose de fuir au Canada pour recommencer leur vie ensemble.
Mais tout cela, n’est qu’illusions, après une folle nuit d’amour où elle l’épuise, les rapports basculent, la vérité n’est pas évidente et celui qui ment n’est pas celui que l’on pense.
Avec : Ainara Iribas, Jorge Flores, Zoé Zag, Julio Féo, Lucia Romeu,
Nathalie Trafford, Noemi et Valentina Gasparini, Miguel Curiel
Image : David Galmot
Musique : Jean Louis Valero
Montage : Julia Juaniz
Son : Jérôme Raim
Assistant réalisateur: Pablo Melchor
Scénario et mise en scène : Jorge Amat
Producteur exécutif : José Maria Lara
Interdit au moins de 12 ans
Format 16/9 Son : Stéreo Duréé : 78 min
Langue : Français-Espagnol (sous-titré)
Dans ce mélodrame inspiré d’un fait-divers, un fugitif armé et traqué par la police
croit trouver l’amour chez une jeune pianiste chez qui il trouve un refuge.
Elle le calme, le convainc qu’il n’est qu’une victime d’une société cannibale.
À son tour, elle s’épanche et lui raconte ses malheurs.
Elle lui propose de fuir au Canada pour recommencer leur vie ensemble.
Mais tout cela, n’est qu’illusions, après une folle nuit d’amour où elle l’épuise, les rapports basculent, la vérité n’est pas évidente et celui qui ment n’est pas celui que l’on pense.
Avec : Ainara Iribas, Jorge Flores, Zoé Zag, Julio Féo, Lucia Romeu,
Nathalie Trafford, Noemi et Valentina Gasparini, Miguel Curiel
Image : David Galmot
Musique : Jean Louis Valero
Montage : Julia Juaniz
Son : Jérôme Raim
Assistant réalisateur: Pablo Melchor
Scénario et mise en scène : Jorge Amat
Producteur exécutif : José Maria Lara
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